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Politique

Philippe Bas se détache in extremis de la voie de chemin de fer à laquelle venait de l’attacher un agent de l’Élysée

Le président de la commission d’enquête du Sénat, Philippe Bas, s’est détaché au dernier moment d’une voie de chemin de fer à laquelle venait de l’attacher un agent de l’Élysée.

Publié le

 mar 


« Mon dernier souvenir était de m’être couché, et d’avoir rêvé que j’enfermais Emmanuel Macron et Alexandre Benalla dans les geôles de l’Élysée. Mais à mon réveil, en ouvrant les yeux, j’avais une corde dans la bouche, et le corps ligoté à une voie de chemin de fer. Un véritable cauchemar. J’ai juste eu le temps de voir le visage de celui qui m’avait capturé : un agent du palais » nous raconte Philippe Bas, encore sous le choc, mais l’œil vif.

« Il a jeté une allumette sur un bout de corde censé me brûler vif, sans doute avant même que je me fasse écraser par le train. Il fallait agir vite. Alors j’ai reproduit une technique apprise lors d’un stage d’espionnage en Israël. Dieu merci, il faisait chaud, j’ai donc placé mon poignet sur un rail chaud bouillant ce qui a eu pour effet de brûler et couper la corde en deux » s’agite-t-il comme s’il revivait la scène.

« Mais je n’y serais jamais arrivé sans l’aide de Ricky, un petit écureuil qui passait par là, qui m’a aidé à me libérer en découpant mes cordages au niveau des chevilles. Qui aurait cru qu’apprendre le langage des écureuils en camp scout lorsque j’étais enfant me sauverait la vie ? » interroge malicieusement Philippe Bas, avant de se jeter à terre en voyant un point rouge se poser sur son front, évitant ainsi un tir de sniper d’élite en pleine tête.

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