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Société

Dans 80% des cas, la chambre d’ami est utilisée par des personnes considérées comme de simples potes

Une étude menée sur un panel représentatif de la société française démontre que 80% des Français possédant une chambre d’ami la prêteraient à une personne qu’elles ne considèrent pas comme tel. Décryptage.

Publié le

 mar 


Pour Djamel Sankharé, chercheur toulousain auteur de l’étude, la personne invitée à occuper une chambre d’ami est dans la majorité des cas un membre de la famille (40%), une personne plutôt considérée comme un simple pote (35%) ou comme un parasite qu’on espère voir partir dans les jours qui suivent (15%). Le chercheur révèle que dans de rares cas, la chambre d’ami peut être utilisée comme salle de squash ou comme cellule visant à retenir un invité contre son gré.

Une situation qui donnerait lieu chaque jour en France à de véritables quiproquos entre un hôte et ses invités. Ils seraient même plusieurs millions en France à penser à tort entretenir une relation amicale avec une personne suite à une nuit passée dans une chambre d’ami. Seul un Français sur 5 respecterait la tradition en refusant l’accès à la chambre d’ami à un invité non considéré comme tel en le forçant à passer la nuit sur le clic-clac du salon.

Suite à la publication des travaux, plusieurs voix se sont élevées pour réclamer l’interdiction de l’expression « chambre d’ami » au profit d’une locution plus en accord avec sa véritable fonction. Après un rapide sondage sur les réseaux sociaux, il semble que l’expression la plus plébiscitée soit « chambre d’ami ou de pote ou de simple connaissance en tout cas t’emballe pas c’est pas un beau roman qui commence non-plus ».

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