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Primaires Républicains : encouragé par ses partisans, Donald Trump frappe Ted Cruz avec son pénis

La compétition qui fait rage entre les deux principaux concurrents à l’investiture républicaine a pris une autre dimension hier lors d’un meeting où Donald Trump a frappé Ted Cruz avec son pénis.

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Donald Trump et Ted Cruz se détestent et ils l’assument. On pensait que le summum du mauvais goût avait été atteint depuis qu’ils avaient osé s’affronter à coups de photos de leur femme. Mais c’était sans compter sur la folie du magnat de l’immobilier qui, hier, lors d’un débat, à court d’arguments et galvanisé par ses partisans en délire, a ouvert sa braguette et sorti son pénis avec lequel il a frappé son rival. « C’était incroyable ! C’est pas Hillary Clinton qui aurait fait ça ! Je suis tellement fière que mes enfants aient pu voir une telle démonstration politique. Depuis, ils passent leur temps à se bagarrer avec leur pénis pour ressembler à Donald Trump, qui sera, je l’espère, notre prochain président. God bless him ! » s’exclame une militante.

« Oh que vous êtes puritains, vous les Européens ! Il était à court d’arguments et la foule était en feu, ça semblait naturel d’en arriver là », nous confie le conseiller en communication de Donald Trump, lors d’un entretien dans un Burger King. « Les combats de pénis sont une tradition bien ancrée dans le cœur des Américains. Moi-même, étant petit, quand je faisais une bêtise, j’y avais droit : mon père me frappait violemment avec son pénis. C’était une façon de me faire comprendre qui était le chef. Malheureusement en 2012, ni Barack Obama ni Mitt Romney n’avaient osé utiliser leur pénis pour frapper leur adversaire. De toute façon, je vous laisse imaginer qui était le mieux armé pour gagner ! » termine-t-il dans un éclat de rire sans même avoir terminé de mâcher son Double Wooper.

En effet, selon un récent sondage du très sérieux New York Times, 2 Américains sur 3 souhaitent avoir un président « doué de son pénis ». « C’est aussi parce que nous sommes en guerre contre de nombreux pays et que le sentiment de sécurité est primordial aux Etats-Unis », nous explique un journaliste du New York Post. C’est vraisemblablement ce qu’a bien compris Donald Trump qui a promis, s’il est élu, d’aller « corriger l’Etat Islamique » avec son « énorme sexe d’homme d’affaires ». Son comité de campagne a d’ailleurs annoncé que lors de son prochain meeting, Trump laisserait la parole à son pénis « pendant de longues minutes ».

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