Politique

Les Français ayant pris de l’hydroxychloroquine seront tondus à la fin de l’épidémie

Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé ce matin que les Français ayant consommé de l’hydroxycholoroquine seraient tondus en place publique dès la fin de l’épidémie.

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A l’issue de la publication dans la revue de santé « The Lancet » d’une étude sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine, Olivier Véran a annoncé samedi saisir le HCSP (Haut Conseil de la santé publique) pour qu’il analyse et propose sous 48 heures une révision des règles dérogatoires de prescription. Le ministre de la Santé a ajouté ce matin que les Français ayant consommé de l’hydroxychloroquine seraient tondus en place publique dès la fin de l’épidémie : « Il est encore trop tôt pour savoir s’il y aura une deuxième vague ou pas mais dès l’annonce par le conseil scientifique de la fin de la pandémie, les maires devront procéder à ces cérémonies de tonte publique indispensables à l’union nationale. Nous leur enverrons une notice de 394 pages pour que tout se déroule au mieux ».

Des cérémonies bon enfant

Brandissant un poster grandeur nature d’Agnès Buzyn, les Français condamnés pour avoir pris de l’hydroxychloroquine devront défiler nus dans les rues de leur commune sous les huées de la foule avant d’abjurer à trois reprises leur foi en Didier Raoult devant le conseil scientifique. Ils seront ensuite tondus sur la place publique puis serviront de cibles à un chamboule-tout géant à base de comprimés de Remdésivir.

Ils seront ensuite transférés dans des laboratoires pour combler la pénurie de souris et serviront de cobayes à différents essais cliniques et aux vaccins contre le Covid-19.

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