Connect with us

Société

Les producteurs de rosé de France admettent détester le vin

Le syndicat des producteurs de vin rosé a confirmé l’information ce mardi, après plusieurs années de suspicions.

Publié le

 mar 


C’est à l’occasion d’une conférence de presse riche en révélations que la Confédération Française des Producteurs de Vin Rosé a levé le voile sur un doute de plus en plus pesant. “Personne ne peut prétendre aimer la vigne et produire une boisson qui partage plus de points communs avec du dissolvant qu’avec du vin” a confirmé Michel Binet, secrétaire général de la CFPVR.

Interrogé sur les origines de ce qu’il qualifie de “terrible erreur”, le porte-parole de la confédération a expliqué qu’il s’agissait d’un regrettable incident : “Pour nous prouver que les Français aimaient tellement le vin qu’ils seraient prêts à boire n’importe quoi, un vigneron a embouteillé du jus de pamplemousse dilué dans du liquide lave-glace et l’a vendu sous l’appellation rosé”. Persuadés que l’initiative serait un échec, les viticulteurs ont vite été dépassés quand les Français ont fait du rosé un incontournable de l’apéro, au même titre que les chipolatas calcinées et les attaques de guêpes.

Le secrétaire général avoue avoir totalement perdu le contrôle de la situation avec l’apparition des rosés aromatisés à la framboise ou à la pêche. “Là, on s’est dit que les gens allaient se douter de quelque chose, mais ils ont adoré”. Au point de réfléchir actuellement à de nouveaux parfums : rosé-pomme caramel, rosé-Redbull et le très attendu rosé-huile de vidange.

Inspiré par cette courageuse initiative, le Syndicat International de la merguez a publié un communiqué en fin d’après-midi pour révéler que leurs produits n’avaient jamais été destinés à la consommation humaine.

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité

Les plus consultés