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Politique

Boutique de l’Elysée : toujours aucun acquéreur pour Bruno Roger-Petit

Alors que l’Elysée a révélé que l’ouverture de sa boutique de produits dérivés avait permis de récolter la coquette somme de 350 000 euros en trois jours, certains articles peinent toujours à trouver leurs clients.

Publié le

 mar 


Le moins que l’on puisse dire est que les produits dérivés de l’Elysée connaissent des fortunes diverses. Tandis que le t-shirt « Vive la CSG ! » ou la tasse « I love Jean-Claude Juncker » se sont vendus à plusieurs milliers d’exemplaires, Bruno Roger-Petit trône toujours désespérément au fond de la boutique entre plusieurs dizaines de répliques grandeur nature d’Agathe, la poule de l’Elysée, et des barils de Glyphosate. La présentation du produit est pourtant des plus alléchantes : « Obéissant et fidèle, Bruno Roger-Petit vous suivra partout. Il peut écrire vos discours si vous lui dictez l’intégralité du contenu et adore être promené en forêt et flatté au niveau du cou et derrière les oreilles ».

Des articles délaissés

Mais rien n’y fait. « La plupart du temps, les clients passent devant lui avec un sourire amusé mais ne s’arrêtent pas » explique, un béret basque sur la tête et un pin’s MoDem accroché à la chemise, François B., un des responsables de la boutique. Un problème d’agencement marketing, de merchandising ou tout simplement de qualité du produit ? Toujours est-il que le chef de l’Etat lui-même s’est dit « préoccupé » par la situation et a annoncé qu’il ne laisserait pas les invendus en magasin éternellement. Selon plusieurs sources contradictoires, il ne donnerait même qu’une semaine à certains produits comme Bruno Roger-Petit, la poupée gonflable à l’effigie de Benjamin Griveaux et l’intégrité de François de Rugy pour trouver preneur.

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