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Monde Libre

Un journaliste russe se dit vraiment chanceux de bénéficier de lois qui lui permettent de faire correctement son travail

Un journaliste russe a redit sa chance de vivre dans un pays où le droit d’informer est relativement respecté.

Publié le

 mar 


« Hier encore je suis rentré chez moi et j’ai croisé des policiers, croyez le ou pas, je n’ai même pas fini en garde à vue » s’exclame-t-il estimant qu’il a dû sa chance à la photo de Vladimir Poutine qu’il porte toujours contre son cœur. « Je ne sais pas si j’aurai eu cette chance en France » regrette-t-il en ayant une pensées pour ces consœurs et confrères, soulignant que grâce à l’interdiction de manifestation il a ainsi moins de risque de les filmer et d’être arrêté. « Quand on voit les images de mardi dernier, on se dit qu’on a vraiment de la chance de vivre dans un pays qui protège autant les journalistes. Regardez l’an dernier, quasiment aucun journaliste n’est tombé dans un escalier, ou par la fenêtre c’est incroyable » explique-t-il en présentant son dernier article d’investigation sur les récentes chutes de neige en Sibérie, des cueillettes de fraises tardives en Crimée et un article sans concession sur la CIA qui fabriquerait des arcs en ciel pour servir la propagande gay.


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