Culture
Les ophtalmos américains demandent à JJ Abrams de réduire l’utilisation des flares dans ses prochains films
Los Angeles – Alors que JJ Abrams est annoncé pour réaliser le prochain épisode de Star Wars et avant la sortie en juin de Star Trek, la très officielle association des ophtalmologistes des Etats-Unis a demandé au réalisateur de stopper ou réduire l’utilisation des flares dans ses films. Une affaire de santé publique selon l’association.
Los Angeles – Alors que JJ Abrams est annoncé pour réaliser le prochain épisode de Star Wars et avant la sortie en juin de Star Trek, la très officielle association des ophtalmologistes des Etats-Unis a demandé au réalisateur de stopper ou réduire l’utilisation des flares dans ses films. Une affaire de santé publique selon l’association.
Effet de style ou risque sanitaire
Effets de style typiques du cinéma des années quatre-vingt, le flare – ou lense flare – connaît une seconde jeunesse sous la patte du jeune réalisateur JJ Abrams qui l’utilise à foison dans tous ses films. Avec la prochaine sortie de Star Trek et les projets des prochains Star Wars, une association américaine d’ophtalmologistes a publiquement demandé au réalisateur de « réduire ou de cesser son recours abusif à ce procédé dit du flare ». Selon l’association, qui a présenté hier les résultats de son étude, cet effet aurait des conséquences directes sur la vue des spectateurs.
« Baisse de la vue, attaques directes et violentes de la cataracte, épilepsie, conjonctivite ». La liste est longue pour cette association qui assure avoir recensé plusieurs centaines de cas à travers tous les Etats-Unis. « Il ne s’agit pas seulement d’incidents isolés. Il faut prendre en compte les milliers de personnes qui n’ont jamais osé consulter ou ceux qui n’ont pas pensé qu’il y avait un lien de cause à effet et qui continuent de regarder les films » a expliqué Michael Robinson, président de l’association lors de la conférence de presse.
Selon lui, le flare, sous couvert d’effet esthétique, attaque directement la cornée de l’oeil et le rend vulnérable. « L’œil est ébloui en permanence, il n’arrive pas à doser correctement la lumière qu’il reçoit. Nous avons constaté que parfois, dans les films de Mr Abrams, on pouvait dénombrer jusqu’à 10 flares d’affilée. Imaginez les dégâts ». L’association suggère en outre d’encourager le port de lunettes adaptées pour permettre de mieux gérer ce problème. Dans l’immédiat, ni le réalisateur, ni les producteurs des films concernés n’ont réagi à ces accusations.
La Rédaction
Illustration: Gage Skidmore / Wikicommon
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