Economie
Les immigrés pourront embaucher des réfugiés pour les travaux que vraiment personne ne veut faire
Qui n’a pas un jour rêvé de faire travailler quelqu’un à sa place pour toutes les tâches ingrates du quotidien ? Les Français l’ont bien compris, car depuis des décennies, c’est la main d’œuvre immigrée qui est employée pour tous les travaux pénibles ou dégradants.

Qui n’a pas un jour rêvé de faire travailler quelqu’un à sa place pour toutes les tâches ingrates du quotidien ? Les Français l’ont bien compris, car depuis des décennies, c’est la main d’œuvre immigrée qui est employée pour tous les travaux pénibles ou dégradants. Un contrat gagnant-gagnant où les Français et les immigrés y trouvent leur compte : les premiers en ne se salissant plus les mains, les seconds en pouvant enfin acheter des steaks hachés premier prix dans des supermarchés de la périphérie.
Mais qu’en est-il des immigrés ? Eux aussi refusent parfois d’accomplir des travaux trop humiliants. Alors, la question est posée : qui pour faire ce que vraiment personne ne veut faire ? Ce problème épineux vient enfin de trouver sa solution. C’est dans une déclaration à la presse que le Ministre de l’Emploi François Rebsamen a annoncé son nouveau projet : « Les immigrés aussi contribuent à la richesse de la France, et il est important de leur accorder parfois certains droits. C’est pourquoi le gouvernement veut leur permettre d’embaucher des réfugiés pour tout ce que les immigrés ne font plus. »
Régler le problème des réfugiés
François Rebsamen veut faire d’une pierre deux coups, et régler par cette mesure le problème des réfugiés sans travail : « Il faut que les réfugiés arrêtent de flâner toute la journée, en jouant au ballon ou en sifflant les filles, avec tout le soutien des associations. Ce n’est pas l’idée que je me fais de la France. Notre pays est une terre d’accueil, mais aussi une terre de travail. »
Un contrat « à la confiance »
Le Ministre a précisé que les immigrés pourront embaucher les réfugiés sous un régime spécifique : « Les réfugiés pourront être embauchés et licenciés quand on le souhaite, car le Code du Travail français ne s’appliquera pas dans leur situation. On pourra les payer en euros, ou en fruits et légumes selon l’humeur du recruteur. Une cagette de bananes peut faire l’affaire par exemple, pour une semaine de nettoyage. Nous visons la simplicité et les contrats à la confiance, pour alléger les procédures administratives. »
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