Connect with us

France

Un couple suit un atelier cuisine en pensant réellement refaire la recette chez eux

Thomas et Lucie, jeunes trentenaires qui se définissent eux-mêmes de façon très originale comme « amateurs de bonne bouffe », se sont inscrits à un cours de cuisine thaïlandaise hors de prix. Nous les avons suivi durant les trois heures de travail et d’apprentissage, et à notre grande surprise, le couple pense réellement reproduire ces recettes « à la maison ». Entretien.

Publié le

 mar 


Le Gorafi : Pourquoi avez-vous opté pour un cours de cuisine thaï ?

Thomas : Pour mettre du piment dans notre couple ! rires

Lucie : On adore l’Asie ! On y va chaque année, pour profiter de notre train de vie occidental dans un pays pauvre. La Thaïlande c’est parfait pour ça !

Le Gorafi : N’avez-vous pas le sentiment d’avoir été floués ? Pensez-vous réellement refaire cette recette un jour ?

Lucie : Honnêtement, une fois qu’on a tous les ingrédients, on peut refaire ça chez nous. Là par exemple c’est une marinade pour deux brochettes de poulet : il faut juste 3 cm de galanga haché finement, un bâton de citronnelle en rondelles très fines, 4 cm de curcuma frais coupé en rondelles très fines également, une cuillère de graines de cumin, une cuillère de graines de coriandre, une cuillère de graines de poivre noir, un peu de sucre de palme, du curry Thaï de qualité supérieure bien sûr et une bonne tasse de lait de coco si possible bio. Ah oui j’oubliais la coriandre fraîche, les cacahuètes et l’huile de sésame. Bref, c’est pas la mer à boire…

Thomas : Oui on n’a pas les woks énormes non plus, ni les couteaux qui coupent, mais on se débrouillera avec ce qu’on a ! rires

Le Gorafi : Pourtant, le chef cuisinier nous a confié que vous n’étiez pas doués… Et qu’il en voit passer tous les jours des pigeons comme vous.

Lucie : Ah oui ? Pourtant il nous a fait plein de compliments. Quel bâtard !

Thomas : Oui on est terriblement déçus, cela fragilisera sans doute notre confiance en nous et causera notre rupture dans la foulée. On lui en veut beaucoup.

Le Gorafi : Il fallait que quelqu’un vous le dise. Au revoir.  

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité

Les plus consultés