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Economie

Selon une étude, les femmes ont aussi besoin d’avoir accès à de la nourriture

C’est une étude internationale qui vient remettre en cause bon nombre d’idées préconçues. Selon cette dernière, il semblerait comme acquis que les femmes auraient, elles aussi, besoin de manger. Et ce de manière régulière pour subvenir à leur faim. Reportage.

Publié le

 mar 


Une révélation qui pourrait remettre en cause beaucoup de clichés et de préjugés. “Nous confirmons que les femmes ont besoin de manger” a répété une experte de l’ONG Action contre la Faim pour qui l’étude est sans appel. “On parle d’environ 440 millions de femmes qui souffrent de la faim à cause des discriminations, des inégalités et des violences basées sur le genre” a-t-elle cité en résumant la dizaines de raisons stupides et iniques pour lesquelles les femmes n’ont pas accès à de la nourriture au même titre que les hommes.

Une étude qui n’a pas tardé à faire réagir à travers le monde avec son lot de réactions stupéfaites ou étonnées, voire révoltées. “Nous demandons une étude comparative avec un groupe placébo” ont réclamé plusieurs pays, qui estiment que “des déclarations de femmes qui souffrent de la faim et qui demandent un accès à la nourriture en quantité et qualité suffisante » ne prouve rien du tout. Dans l’immédiat, d’autres pays ont annoncé modifier leurs lois pour assurer l’accès égale à l’alimentation sans barrière de genre, l’autonomisation des femmes et pour permettre plus de représentation politique. Moins de 24h après, plusieurs changements auraient ainsi été signalés.

Certaines économies se seraient relevées au point de voir une hausse du PIB dans de nombreux pays et d’ainsi surclasser plusieurs pays européens. « La participation des femmes aux décisions politiques et économiques contribue invariablement à un développement plus efficace et représente une chance d’éliminer la faim. Et si les femmes avaient le même accès aux ressources que les hommes, les rendements agricoles pourraient augmenter et la faim pourrait reculer de 12 à 17 % » commente l’experte d’Action contre la Faim.

On signale également que plusieurs femmes seraient devenues cheffes d’entreprises dans la foulée, tandis que d’autres auraient commencé à investir les conseils d’administrations en expliquant comment mieux gérer les fonds et l’argent. 

Pour aller plus loin, notre rédaction vous recommande chaleureusement de lire cette étude en cliquant sur ce lien.

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