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Sciences

Selon une étude scientifique, l’Humanité mourra, à plus ou moins long terme

Pollution, réchauffement climatique, surexploitation des ressources, de tous temps il est dit que l’Humanité court à sa perte. Aujourd’hui un rapport qu’on attendait beaucoup mais que certains jugent déjà comme « trop alarmiste » et « peu scientifique » vient confirmer ces craintes. Une commission belge a présenté hier les conclusions de son rapport sur l’espérance de vie de l’Humanité pour les prochaines années. Les conclusions sont sans appel.

Publié le

 mar 


Pollution, réchauffement climatique, surexploitation des ressources, de tous temps il est dit que l’Humanité court à sa perte. Aujourd’hui  un rapport qu’on attendait beaucoup mais que certains jugent déjà comme « trop alarmiste » et « peu scientifique » vient confirmer ces craintes. Une commission belge a présenté hier les conclusions de son rapport sur l’espérance de vie de l’Humanité pour les prochaines années. Les conclusions sont sans appel.

A plus ou moins long terme

Selon cette étude, l’Humanité mourra et c’est irréversible. « On estime que a plus ou moins long terme, nous mourrons hélas tous » a expliqué le professeur Werner Shaüss, « On ne peut pas prévoir où et quand mais c’est inéluctable. Certains mourront plus vieux que d’autres, certains plus jeunes » . Le professeur Shaüss a ainsi évoqué des « altérations irrévocables du cycle de vie » qui pourraient selon lui interrompre de manière définitive l’espérance de vie chez certains sujets: « Dans nos expériences, nous avons constaté que certains cobayes opposaient peu de résistance dans des véhicules motorisés propulsés contre des obstacles ou quand eux même se trouvaient sur la chemin de ces dits véhicules lancés à pleine vitesse » .

Plusieurs expériences menées dans différents laboratoires en Belgique et Allemagne confirment les premiers résultats. L’Homme aurait ainsi une résistance faible contre tout objet incandescent lancé à son encontre. De plus, plongé dans un liquide sans assistance respiratoire, son espérance de vie serait irrémédiablement diminuée et dans certains cas compromise.

Autre facteur constaté : sur le long terme, l’espérance de vie pourrait atteindre un « point de non retour » : « Nous avons observé que certains sujets vieillissaient beaucoup après un certain âge, certains décédaient même au court du cycle de vieillissement » . Si dans un premier temps la communauté scientifique n’a pas souhaité commenter les résultats de l’équipe du professeur Shaüss, il n’en demeure pas moins que de telles conclusions sur le futur de la planète soulèvent l’éternelle question, l’Homme a-t-il un avenir?

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