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Monde Libre

Kim Jong-un vexé que les USA et l’Iran ne lui ont pas proposé de jouer à la guerre

Le dirigeant de Corée du Nord a très mal pris de ne pas avoir été sollicité dans le conflit qui a opposé les États-Unis et l’Iran.

Publié le

 mar 


« Mais pour qui ils se prennent ?! Ils se croient supérieur à moi, c’est ça ?! On a tous les trois la bombe nucléaire, c’est incompréhensible que je n’ai pas été invité à jouer avec eux !!! Si c’est ça moi aussi je vais lancer les hostilités, et contre les deux à la fois !!! NA ! » s’énerve, devant nous, le guide suprême, debout sur son trône en cuire d’opposant politique, avant de se rouler par terre de colère.

Malgré une dizaine de minutes à être balancé dans les bras de sa gouvernante tout en suçant son pouce, la tension Kim Jong-un ne redescends pas d’un cran : « En plus c’est mon anniversaire aujourd’hui !! Donald aurait dû me faire un cadeau en m’invitant ! Je serai venu avec mon jet et ma bombe !! Je suis sûr qu’il est jaloux en fait, parce que j’en ai une plus grosse et plus puissante !! » hurle-t-il, les larmes à l’œil et de la bave au coin de la bouche.

La fureur du guide suprême de Corée du Nord ne se calmant pas, il décide de se saisir de sa poupée vaudou à l’effigie de Donald Trump et de lui asséner de nombreux coups, avec un couteau en plastique donné par sa gouvernante : « T’es plus mon copain !!!! » s’évertue alors à répéter frénétiquement Kim Jong-un. L’entretien s’arrêtera là, sa nounou lui nouant un bavoir autour du cou et l’installant dans sa poussette géante au couleur de la Corée du Nord : « allez, à table ô guide suprême. Souriez, ce soir c’est votre plat préféré : ragoût de prisonnier américain »… Ainsi s’en est allé Kim Jong-un, s’éloignant de nous, en nous adressant un doigt d’honneur jusqu’à ce que l’horizon nous empêche de deviner sa silhouette.

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