Sciences
Les États-Unis clonent le tout premier punk à chien
C’est une avancée scientifique qui va soulever de nombreux problèmes de bioéthique. Le Duplicate Institute de Chicago vient d’annoncer une première mondiale : le clonage réussi d’un bébé punk accompagné de son chien. Un espoir de survie pour cette catégorie sociale menacée d’extinction.
C’est une avancée scientifique qui va soulever de nombreux problèmes de bioéthique. Le Duplicate Institute de Chicago vient d’annoncer une première mondiale : le clonage réussi d’un bébé punk accompagné de son chien. Un espoir de survie pour cette catégorie sociale menacée d’extinction.
De la graine de contestataire
Le Dr Dickey Richardson dirige le Duplicate Institute de Chicago. C’est sur le site de son institut qu’il a publié les premières photos de ce punk à chien cloné. Des clichés accompagnés d’un communiqué de presse dans lequel il explique :
« Le plus dur a été de cloner le punk et le chien qui va avec. Faire naître un individu antisocial habillé en tenue kaki à partir d’un embryon n’a pas été si dur que ça. Mais arriver à créer un embryon de berger allemand à partir de cellules de punks, ça c’est une fucking prouesse ! »
Le punk à chien s’appelle donc Sean. S’il ne peut évidemment pas encore s’exprimer, ses créateurs affirment qu’il développera dès ses premiers pas de solides idées contestataires accompagnées d’une envie de marginalisation sociale.
Enfin, détail amusant, c’est un Français, un chercheur originaire de Brest, qui a chapeauté le processus de clonage. Son nom : Glen Le Guennec. « J’ai toujours été passionné par les punks à chien mais je reste très inquiet de leur nombre très faible. Je voulais donc y remédier et trouver le moyen d’empêcher leur disparition qui menacerait la diversité nécessaire à notre écosystème », explique l’expert en SVT.
Une piste pour le clonage mixé
Si cette annonce va évidemment réanimer le débat traditionnel sur le fait de répliquer un être humain, elle ouvre également la voie à un nouveau genre de clonage, celui de synthèse. Boîte de Pandore pour les uns. Eldorado pour les autres. Dickey Richardson explique les bienfaits hypothétiques que l’on pourrait en tirer : « On peut espérer que d’ici quelques temps on soit en mesure de créer un être mi-punk mi-trader. La parfaite fusion entre la révolte et la soumission au système. On pourrait même inventer un nouveau genre : le trader à chien. »
La Rédaction
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