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Société

5 choses à savoir sur l’école Stanislas

L’école Stanislas, dans laquelle la ministre de l’éducation Amélie Oudéa-Castera a placé ses enfants, est au cœur d’une polémique, accusée de véhiculer aux élèves des discours homophobes et sexistes. La rédaction a enquêté et voilà 5 choses à savoir sur l’école Stanislas

Publié le

 mar 


  1. La légende dit qu’un jour un pauvre a pénétré dans cette école. Le physio chargé de refuser l’entrée à tout individu n’ayant pas des parents PDG ou politique, aurait été viré sur le champ. Ce brave homme s’était pourtant montré héroïque en frappant violemment un Gilet Jaune qui s’était approché trop près de l’école et en jetant des pavés sur un char de la gay pride défilant à quelques mètres. 
  1. Les élèves lisent les pages saumon du Figaro pendant la sieste. Ils y fument aussi la pipe pendant la récré tout en débattant de la question qui obsède particulièrement les CE2 de Stanislas : “Comment Jésus Christ peut-il sauver la France du wokisme ?” 
  1. Un élève a déjà réussi à faire expulser un homme de ménage trop bronzé à son goût. Le gamin de CP a milité pour l’expulsion de cet homme Français d’origine Camrounaise “pour que Stanislas reste Stanislas”. La direction a tenu à le féliciter et lui a fait sauter une classe dans la foulée. 
  1. CNews y envoie régulièrement des recruteurs pour trouver la future perle rare. Pascal Praud confie qu’un élève de CE1 pourrait bien faire son arrivée autour de la table de l’Heure des pros dans les prochaines semaines : “J’ai été bluffé quand je l’ai vu tenter une “théorie de conversion” sur un de ses camarade qui avait un t-shirt rose d’inverti. Pauvre gosse, il avait sans doute eu cette idée en écoutant une émission du service public !”. 
  1. Les petites filles suivent des cours afin d’être de “futurs bonnes épouses”. Lors de ces ateliers, elles apprennent à se taire à table pour laisser parler leur mari qui est pourtant aussi diplômé qu’elle. On leur enseigne également à donner des ordres à des employées de maison sans les appeler par leur nom car “humaniser les bonniches, c’est le début du communisme” nous souffle le directeur de l’école. 
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