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Politique

Le gouvernement demande aux familles de désigner l’enfant qu’ils acceptent de perdre à la guerre

Suite aux déclarations du chef d’état-major des armées, les Français sont appelés à sélectionner l’enfant qu’ils aiment le moins pour l’envoyer sur le front en cas de conflit.

Publié le

 mar 


Dans certaines familles, le choix s’est fait naturellement. “Le petit dernier a su écrire son prénom à 11 ans, il s’appelle Tom. Avec sa mère, on a su très vite que pour lui ce serait soit l’armée, soit la télé-réalité” confie Gérard, le père du futur soldat. “Il est très endurant et pose peu de questions, on est sûrs qu’il se plaira à l’armée”, ajoute sa mère, tout en essayant d’empêcher Tom de mettre deux feutres dans son nez simultanément.

Mais pour de nombreux autres parents, comme Sophie, l’annonce du gouvernement est un vrai coup dur. “Contrairement à la plupart de nos amis, on n’a pas d’enfant préféré, on les aime tous de la même façon et ça nous détruit de devoir en sacrifier un”, explique la quinquagénaire avant de fondre en larmes. Pourtant, d’ici le 1er janvier 2026 et comme des millions de familles françaises, elle devra aussi désigner l’un ou plusieurs de ses enfants pour garnir le front en cas de guerre.

Pour simplifier les démarches des familles, le gouvernement a mis en place une plateforme sur le site de l’Armée de Terre dans l’onglet « je-donne-mon-enfant ». Les parents pourront enregistrer l’un de leurs enfants, ou sélectionner l’option “choix aléatoire”, s’ils n’arrivent pas à se décider. Dès sa mise en ligne, la plateforme a enregistré un succès inespéré, en particulier le mercredi et avant le week-end, note le gouvernement.

Si le gouvernement a tenu à se montrer rassurant sur l’éventualité d’une guerre prochaine, de nombreuses familles ont d’ores et déjà envoyé leurs enfants au chef d’État-major des Armées, “au cas où”.

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