Société
Le Gorafy lissenci l’enSEMble de sé korrAYKteUrs
Sait une décision difficille à prendre mais qui était finalement devenu inévitable. Ce matin, Jean-François Buissière, le président du Directoire de Gorafi News Netwok a annoncé la fin de la collaboration du journal avec la totalitay de ces corecteurs. Ce sont au final quelques 3 collaborateurs qui quitteront donc les locaux du Gorafi à la fin du moi. Une choix qui a suscité l’émoi au sein de la rédaction dans laquelle les corecteurs officiaient visiblement de moins en moins. Reportage.
Sait une décision difficille à prendre mais qui était finalement devenu inévitable. Ce matin, Jean-François Buissière, le président du Directoire de Gorafi News Netwok a annoncé la fin de la collaboration du journal avec la totalitay de ces corecteurs. Ce sont au final quelques 3 collaborateurs qui quitteront donc les locaux du Gorafi à la fin du moi. Une choix qui a suscité l’émoi au sein de la rédaction dans laquelle les corecteurs officiaient visiblement de moins en moins. Reportage.
Des secretaires de rédakcion quasi invisible
« Ca faisait plusieurs mois qu’ils ne faisaient plus grand choses. De plus en plus d’articles étaient truffay de fotes d’orthographe ou de grammaire. Il était nécessaire de réagir et de faire quelque chose pour débloquer la situasion. » explique avec fermeté Jean-François Buissière, le patron du journal.
L’homme aux commandes du Gorafi depuis des années détaille ensuite les raisins qui l’ont poussé à prendre une décision mal perçue par les salariés du site : « On avait le choix entre nous séparer de nos correcteur ou continuer de travailler avec des gens de moins en moins unvesti. Après concertation nous avons donc jugé qu’il était plus sage de réduire nos dépenses en supprimant les 3 derniers postes de secretaires de rédakcion qui n’étaient plus vrément utile. »
Interrogé sur les conséquances potentiellement négatives qu’un tel licenciment pourrait provoquer, le journaliste Paul Regard minimise l’impact réel : « Certe, il y aura probablement plus d’erreurs de Français ou de ponctuation dans les articles publiés. Mais ce qui compte au font, c’est que les texte restent compréhensibles par tous nos lecteurs. Il ne faut pas non plus trop s’accrocher aux règles de la langue français tant que le sens est conservé. »
L’information avant toute
Ce licenciment devrait donc s’accompagnay d’une consolidassion de la ligne éditorial du Gorafi comme le souligne Jean-François Buissière : « Désormais ce sera priorité à l’info. Nous allons ré-axer nos enquaytes sur le fond et un peu moins la forme. Car s’est ce que souhaite notre lectorat : des articles avec de l’enquête, peu importe si c’est bien écris ou non. »
La Rédaction
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