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Les Editos

« À cause du Gorafi, tout le monde a cru que j’étais réellement un acteur » par Samuel Le Bihan

En réponse à notre article “Le talent de l’acteur Samuel le Bihan retrouvé mort chez lui à 48 ans” publié le 17 février dernier Samuel le Bihan a tenu à réagir dans nos colonnes

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 mar 


En réponse à notre article “Le talent de l’acteur Samuel le  Bihan retrouvé mort chez lui à 48 ans” publié le 17 février dernier Samuel Le Bihan a tenu à réagir dans nos colonnes :

Suite à la parution de votre article sur votre site, je tiens à vous signaler plusieurs choses qui m’ont choquées et je souhaitais apporter ici les corrections nécessaires pour vos lecteurs.

Vous faites ainsi mention, à maintes reprises, et ce dès le titre de votre article, de ma qualité d’acteur. À cause de cet article plusieurs personnes, des proches, des amis ont été ainsi convaincus que j’étais un acteur, un comédien de cinéma et de théâtre. J’ai reçu quantité d’appels me demandant de confirmer ou non cette annonce, de la part de gens très inquiets, des gens qui ont été tétanisés durant des jours.

Je laisse à votre seul jugement l’entière responsabilité d’avoir ainsi choqué, heurté, peut-être de manière délibérée.

Il est important de rappeler que, contrairement à ce que vous affirmez, je n’ai jamais été acteur durant ma carrière, à aucun moment.  J’ai certainement donné des coups de mains à des amis sur des films en leur donnant la réplique sur des plateaux mais je ne pense pas qu’on puisse appeler cela faire l’acteur. D’autres fois, je suis ce qu’on appelle une « doublure lumière ». Les vrais acteurs, les seuls, sont ceux à qui j’ai pu donner la réplique. J’ai ainsi rencontré de très nombreux acteurs, et je pense qu’ils seraient peinés d’apprendre, que moi, leur ami, du jour au lendemain, je me prétends être moi-même acteur.

Mon ami de longue date Clovis Cornillac me dit qu’il a longtemps été victime d’une pareille rumeur. Avec force, conviction et parfois procès, il a pu faire taire la calomnie. Je ne veux pas en venir à ces extrémités.

Je ne veux pas ici faire le procès de vos journalistes. L’information va très vite et parfois un simple mot peut changer tout entièrement le sens d’une dépêche. Quelqu’un vous aura mal renseigné, ou vous aurez repris une rumeur sur internet. Mais il est dommage que cette assertion fallacieuse à mon encontre ait été répétée tout au long de l’article, créant ainsi le doute.

J’ai bon espoir que ceci ne se reproduise plus et je reste bien sûr, malgré tout, un de vos fidèles lecteurs.

Respectueusement.

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