Monde Libre
Obama renonce à la présidence et avoue qu’il est allé au bout juste pour voir “combien de gens l’aimaient encore”
L’Amérique est sous le choc. Barack Obama vient tout juste de remporter les élections présidentielles. Mais dans la foulée de sa victoire, le candidat démocrate vient d’annoncer qu’il renonçait à la présidence des Etats-Unis. Il justifie son incroyable décision en avouant qu’il n’avait pas spécialement envie d’être à nouveau président mais qu’il est quand même allé au bout de cette campagne pour voir « combien de gens l’aimaient ».
L’Amérique est sous le choc. Barack Obama vient tout juste de remporter les élections présidentielles. Mais dans la foulée de sa victoire, le candidat démocrate vient d’annoncer qu’il renonçait à la présidence des Etats-Unis. Il justifie son incroyable décision en avouant qu’il n’avait pas spécialement envie d’être à nouveau président mais qu’il est quand même allé au bout de cette campagne pour voir « combien de gens l’aimaient ».
Une histoire de confiance en soi
C’est presque sans la moindre once de doute et de remords que Barack Obama a annoncé la nouvelle hier soir. C’est à Chicago dans l’Illinois que la scène se passe. Obama se tient droit devant ses partisans : « Je tiens à tous vous remercier pour votre soutien pendant ces longs mois. Mais après cette victoire, je me dois d’être honnête avec vous. Je renonce officiellement à un nouveau mandat de présidence. Je n’ai tenu cette campagne que parce que je souhaitais constater combien de personnes m’aimaient encore malgré mon 1er mandat. Ces 4 années que j’ai passées en tant que président n’ont pas été de tout repos. Il y a eu cette crise économique, la guerre en Afghanistan, la réforme du système de santé et plus récemment l’ouragan Sandy. J’avais peur qu’après toutes ces épreuves les gens ne m’aiment plus. Sans oublier le fait que je suis à moitié noir et que le Texas existe toujours. J’avais donc besoin de savoir. Mais ce soir, grâce à votre soutien et à votre amour, vous m’avez redonné confiance en moi. Merci encore pour tout. Dieu vous bénisse ! Dieu bénisse l’Amérique ».
Cette décision de Barack Obama a été saluée par Mitt Romney, son adversaire et perdant de cette présidentielle : « Je comprends parfaitement son choix. Je n’ai moi-même tenu cette campagne que parce que je souhaitais voir aussi combien de personnes me trouvaient sympathique. Je ne suis et ne serai jamais fait pour cette fonction. Si j’ai continué et mené ma campagne jusqu’au bout c’est simplement pour constater combien vous m’aimiez. Et je n’ai pas été déçu ! Vous savez, ma vie n’est pas la plus facile qui soit. Je suis un républicain et d’obédience mormone. Deux éléments qui m’ont souvent attiré l’antipathie des gens. Ce soir je sais que les gens m’aiment moins que Barack Obama mais ce n’est pas grave. J’accepte leur choix. »
Après l’annonce de Barack Obama d’abandonner la présidence, tous les regards sont tournés vers Joe Biden. Celui qui formait l’autre moitié du ticket avec Romney pourrait bien accéder directement au bureau ovale sans passer par la case vice-présidence. Mais certaines sources contradictoires affirment qu’à l’instar d’Obama il pourrait bien se désister. L’intéressé ne se serait aussi engagé dans cette campagne que pour voir « combien de personnes trouvent Barack sympa ».
Le Gorafi
Illustration: Elizabeth Cromwell
-
SociétéIl y a 1 semaine
Face au VIH, les autorités sanitaires recommandent aux français d’éjaculer dans leur coude
-
PolitiqueIl y a 6 jours
Sébastien Lecornu a rencontré Nicolas Sarkozy pour le supplier d’échanger leur place
-
Au delà du PériphériqueIl y a 2 semaines
Il parvient à résoudre les problèmes d’embouteillage grâce à de multiples coups de klaxon
-
PolitiqueIl y a 2 semaines
Comme l’exige son rôle, Gérald Darmanin ira chaque soir lire une histoire à Nicolas Sarkozy
-
SociétéIl y a 1 semaine
À court de problèmes personnels, elle commence à sortir avec un barman
-
SociétéIl y a 5 jours
Elle est soulagée d’avoir lavé ses pesticides avec des polluants éternels
-
PolitiqueIl y a 7 jours
Jordan Bardella confond encore le Parlement européen et les locaux de CNews
-
PolitiqueIl y a 1 semaine
Pour perturber le sommeil des autres détenus, Nicolas Sarkozy lit à voix haute “le Temps des tempêtes”