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Culture

La culture toujours dans la crainte d’une 2e vague de Franck Riester

Avec la réouverture des parcs et des restaurants, beaucoup de Français retrouvent le sourire. Ce n’est pas le cas de la culture qui redoute, avec le « déconfinement », une 2e vague de Franck Riester.

Publié le

 mar 


Depuis environ trois mois, elle avait la belle vie, loin de Franck Riester. De quoi retrouver une atmosphère propice à la rêverie et à la contemplation : « Je me suis remise à lire des classiques, à écouter de la grande musique, à regarder des chefs d’œuvre du cinéma et à dévorer des livres consacrés à la peinture ou à la photo après des mois passés à écouter Vianney ou à lire du Guillaume Musso, ça fait un bien fou ! » explique la culture, avant d’ajouter : « J’ai retrouvé également le plaisir de la création après une période de glande intense ». Hélas, les bonnes nouvelles sanitaires s’accumulant, un retour de Franck Riester semble plus que probable après une 1ère vague dévastatrice entre le 16 octobre 2018 et le 17 mars 2020. Selon de nombreux spécialistes, cette 2e vague pourrait avoir de graves répercussions sur la santé mentale : « Il faut bien comprendre qu’il y a eu une sorte de relâchement après la 1ère vague et que celle-ci risque d’avoir des conséquences dramatiques. On n’est pas à l’abri de conversions à l’ASMR ou de gens qui deviennent subitement fans de danse contemporaine » confie Serge Gefer, psychiatre.

Mesures sanitaires

Pour réduire l’impact de cette possible deuxième vague, les instances sanitaires rappellent l’importance des “gestes barrières”. Il convient par exemple de respecter la distanciation sociale en évitant de se tenir à moins de 800 km du ministre de la Culture. Le port du masque et d’un bandeau sur les yeux est également primordial lors de chacune de ses interventions, interventions à la suite desquelles il est conseillé de se désinfecter en profondeur les oreilles et d’éviter tout contact avec d’autres personnes. Enfin, selon plusieurs scientifiques, arborer un t-shirt « petits festivals ouverts » ou proclamer à haute voix « Vive les intermittents du spectacle! » permettrait d’éloigner ses miasmes et de limiter la contagion.


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