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Culture

Un producteur de théâtre fait fortune en ajoutant “aux lardons” à la fin de chaque nom de pièce de boulevard

Une idée lumineuse qui lui a permis de vraiment se faire un trou dans le monde de la comédie.

Publié le

 mar 


Près de 20 ans après l’immense succès de “Couscous aux lardons”, une comédie de boulevard qui est encore jouée aujourd’hui, le producteur de théâtre Jean-Marie Démontet a réussi un coup de poker avec une recette presque magique : “Quand j’ai vu carton qu’était cette pièce, j’ai su qu’il fallait en faire une sorte de franchise, comme les Américains ont fait avec Avengers. Alors, j’ai d’abord essayé en ajoutant le mot « couscous » mais ça sonnait mal : « Ma voisine ne suce pas que du couscous » et « Les hommes viennent de mars, les femmes viennent du couscous » n’ont pas eu le succès escompté. C’est quand on a décidé d’ajouter « aux lardons » que ça a décollé.” 

Depuis cette idée, les théâtres de Jean-Marie Démontet ne désemplissent pas : “On a d’abord lancé « Hamlet aux lardons » qui a marché tout de suite. On a continué avec des adaptations d’autres classiques comme « L’école des femmes aux lardons » et même « Le Barbier de Séville aux lardons » qui ont aussi très bien fonctionné.”. Selon le producteur, la mécanique est toujours la même : “On reprend la base des pièces classiques, sauf qu’on transpose les personnages principaux en un musulman, un juif et un catholique, et à un moment donné, ils se retrouvent face à une tartiflette qui contient des lardons, et là ça part en vrille !

Une idée révolutionnaire qui en appelle d’autres

Si le producteur a connu un grand succès au théâtre, il s’intéresse désormais au grand écran avec une recette similaire : “Le succès fou de « Bienvenue chez les Ch’tis » nous a évidemment interpellés. Alors on a prévu de tourner prochainement «Alien chez les ch’tis», «Le bon, la brute, et le ch’ti» et «La liste de Schindler chez les ch’tis».

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