Politique
Emmanuel Macron offre un portrait de René Coty au président congolais
« Pour sceller notre amitié, je vais vous donner quelque chose. C’est notre Raïs à nous. C’est Monsieur René Coty. Un grand homme qui a marqué l’histoire. Il aime les cochinchinois, les malgaches, les marocains, les sénégalais… C’est donc votre ami. Ça sera votre porte-bonheur. » C’est par ces mots, et ce geste symbolique, qu’Emmanuel Macron a terminé sa visite diplomatique africaine, dimanche soir à Kinshasa.
Un geste perçu comme « paternaliste et offensant » par le président Tshisekedi qui n’a pas souhaité s’exprimer davantage, laissant son homologue répondre aux questions des journalistes dans une ambiance pesante.
À la question : « Comment appelez-vous un pays qui a comme président un banquier avec les pleins pouvoirs, une police secrète et dont toute l’information est contrôlée par l’État ? » Le dirigeant français a répondu avec fierté : « J’appelle ça la France, monsieur. Et pas n’importe laquelle ; la France d’Emmanuel Macron. »
De retour en France, il a déclaré dans un communiqué que guidé par la puissance de René Coty, il apportait son soutien à la République Démocratique du Congo en mettant son président en relation avec la cellule « Afrique » du cabinet Mc Kinsey.
-
PolitiqueIl y a 1 semaine
En souvenir de son action pour la France, François Bayrou instaure un nouveau jour férié
-
PolitiqueIl y a 1 semaine
Le président qui se disait ni de gauche ni de droite nomme un septième Premier ministre de droite
-
SociétéIl y a 2 semaines
N’ayant pas retrouvé goût à la vie grâce au trail, il se lance dans le triathlon
-
CultureIl y a 23 heures
Mort à 89 ans du journaliste Steven du célèbre duo Peter et Steven
-
PolitiqueIl y a 2 semaines
En cas de destitution, François Bayrou n’exclut pas de se lancer en politique
-
PolitiqueIl y a 1 semaine
À peine démis de ses fonctions, François Bayrou promet de « tout casser le 10 septembre »
-
PolitiqueIl y a 1 semaine
Il perd toute trace de son caméléon après l’avoir posé devant Olivier Faure
-
SociétéIl y a 2 semaines
Sa bonne humeur des vacances ne survit pas plus de trois secondes à sa première réunion